jeudi 3 novembre 2011

Isolation : Volet soplair neuf extérieur fiat


Volet soplair neuf extérieur fiat



Finalement, face à la tache ardue de confectionner soi-même un volet isolant de pare brise de mon camping car fiat, j'ai décidé d'acheter sur le bon coin un SOPLAIR quasi neuf.
il m'a coûté 200 € et j'en suis très content.




Voici l'annonce en photo :

Volet exterieur camping car soplair


Prix : 200 €

soplair fiat après 2007, neuf jamais servi, achat
avec facture du 21/07/2011.valeur 370 euros


c'est la page du volet exterieur camping car soplair.

Normandie : Vacances tous les cinqs

Petit tour en Normandie, ses pâturages et ses prairies...



La Normandie, berceau de l'Impressionnisme
Sites du débarquement et de la Bataille de Normandie
Le casino de Deauville
Le romantisme d' Honfleur.

 


Agrandir le plan

Les villes visitées :



  • Montivilliers
  • Lillebonne
  • Jumièges
  • Duclair
  • La Bouille
  • Sotteville-lès-Rouen
  • Canteleu
  • Saint-Wandrille-Rançon
  • Pont-Audemer
  • Villers-sur-Mer
  • Deauville
  • Trouville-sur-Mer
  • Honfleur
  • Montivilliers


Normandie : Architecture


Architecture en Normandie


L’habitat traditionnel est fortement influencé par la géographie et la géologie, qui déterminent les matériaux de construction disponibles.

La chaumière normande typique (colombages de chêne, torchis, toit de chaume) se retrouve notamment du pays de Caux au pays d’Auge, la maison de brique vers l’est de la province, la maison de pierre calcaire dans le Calvados (plaine de Caen, Bessin, pays de Falaise) et l’Orne, celle de granit dans la Manche, l’ouest de l’Orne et le sud-ouest du Calvados (granit gris et granit rose), sans oublier quelques maisons en schiste en Suisse normande.

Histoire de l'architecture en Normandie

Les envahisseurs vikings devenus barons normands construiront des châteaux en bois sur des monticules de terre qui donneront lieu au développement des châteaux à motte féodale et des grandes églises en pierre dans le style roman propre aux Francs. Dès 950, ils érigeront des donjons en pierre (voir aussi Logis seigneurial).
Les Normands raffineront le plan des premières basiliques avec l’abbatiale Saint-Étienne de Caen, commencée en 1067, qui servira de modèle aux cathédrales anglaises de plus grande taille dont la construction débutera vingt ans plus tard.
En Angleterre l’art roman de la fin du xie au début du xiie siècle est appelé art normand51, car ce sont les Normands qui l'ont importé dans l'île. Cette influence normande ce fit également sentir en Écosse, en Irlande ou en Sicile.
La cathédrale de Durham, construite au xiie siècle en Angleterre, sans aucun doute par des tailleurs de pierres normands, révolutionne l’art roman : la voute de la nef est constituée d'arcs qui se croisent en diagonale. Ce mode de conception est le trait d'union avec le style gothique.
Une des spécificités du gothique normand, (fin du xiie siècle - début du xiiie siècle), est la présence d'une tour centrale.
Au xviie siècle on construit des châteaux de style classique (Balleroy, Beaumesnil, Cany, Flamanville).
Au xviiie siècle Jacques François Blondel réalisa de nombreuses maisons de plaisance en Normandie ainsi que des petits châteaux en pierre de Caen.


Dans la seconde moitié du xixe siècle Jacques Baumier créé le style néo-normand pour des villas qui se caractérise par des bâtiments construits à partir d'une structure à pan de bois traditionnelle, mais avec des matériaux modernes.
Entre 1886 et 1914, le quartier de la « belle Époque » à Bagnoles-de-l'Orne, inspiré par le courant néo-normand, développe un style architectural "Bagnolais" à nul autre semblable.


Après la Bataille de Normandie de nombreuses villes normandes sont lourdement touchées. Une reconstruction urbaine massive s'impose dans les années 50 et 60.


Au Havre une note avant-gardiste apparait. À Caen, de larges avenues rectilignes bordées par des immeubles de pierre de Caend'environ cinq étages, confère une grande unité architecturale.


C’est le Normand Charles de Gerville qui, en 1818, est à l’origine de l’utilisation du terme de « roman ». Par ailleurs, le « gothique flamboyant », jadis appelé « gothique normand », est un terme moderne inventé par le Normand Eustache-Hyacinthe Langlois52,53.
Matériaux utilisés[modifier]
La pierre de Caen, qui s’est exportée en Angleterre, Allemagne et jusqu’à New York ;
Les roseaux pour le toit des chaumières ;
Le bois de chêne pour les colombages, et les Essentes/Essantes : « ais/bardeaux » (planchettes/ardoises/tuiles de bois, plus généralement en chêne) ;
L’argile pour la fabrication des briques ou du torchis ;
Le silex du pays de Caux ;
Le granit dans le Cotentin, qui pave également la place de la Concorde ;
Le grès rouge dans la frange côtière du pays de Caux (exemple à Veules-les-roses et Malleville-les-Grès) ;
Le schiste (ou pierre bleue) qui recouvre les toits du Nord-Cotentin ;
Le granite d’Alençon extrait des carrières de Condé-sur-Sarthe qui a servi à construire la ville.

Chaumière normande à Saint-Sulpice-de-Grimbouville.
 

Maison à colombage à Rouen.


Le mont Saint-Michel, (édifiée dès le xe siècle siècle).
 

L’abbaye aux Hommes deCaen, (construit entre le xie et le xviiie siècle).





Le château de Balleroy, (édifié à partir de 1626), construit en briques et en pierres, marque un tournant dans l'histoire de l'architecture française54.


Normandie : Blason de la Normandie

Blason de la Normandie traditionnel en France
 Les treis cats

L’écu rouge à deux léopards jaunes tournant la tête de face, blasonné de gueules à deux léopards41 d’or l’un sur l’autre est l’emblème héraldique de la Normandie continentale. Dans les îles Anglo-Normandes, les deux bailliages de Jersey et de Guernesey qui constituent la Normandie insulaire portent un blason à trois léopards, comme celui de Richard Ier d’Angleterre, dit plus tard Richard Cœur de Lion, roi d’Angleterre et duc de Normandie. Lequel des deux blasons est le plus ancien demeure un sujet de polémique et de recherche historique pour certains.




Henri II Plantagenêt aurait porté comme comte d’Anjou un long bouclier bleu chargé sans doute de huit lionceaux d’or (comme on peut encore l’admirer au Mans sur la plaque funéraire de son père Geoffroy Plantagenêt) puis les aurait réduits à deux lions, la taille des boucliers s’étant raccourcie. Le premier sceau de son troisième fils Richard Cœur de Lion ainsi que des témoignages contemporains attestent qu’il fit d’abord usage d’un écu à un seul lion. De retour en Angleterre en 1194, il adopta un nouveau sceau à trois lions/léopards posés l’un sur l’autre. L’une des hypothèses, discutable, est que Richard aurait introduit le troisième léopard tiré du blason de sa mère Aliénor d'Aquitaine. Les ducs d’Aquitaine n’ayant qu’un seul léopard. Mais il est fort probable qu'il y ait plutôt adjoint celui du sceau de la ville de Rouen (créé au xie siècle à partir du Hrifsklímsli[réf. nécessaire] : « monstre agrippeur », le léopard était partie intégrante du sceau de la ville au début du xiie siècle), pour remercier les Normands d'avoir aidé à verser sa rançon (ce que les Plantagenêt, en France, avaient refusé de faire).

Toutefois, on ne connaît pas de représentation héraldique à deux léopards avant Richard autre que l’écu de son frère Jean sans Terre comme comte de Mortain avant son accession au trône, ce qui tendrait à accréditer le fait que ce blason à deux léopards était l’écu héraldique originel de la ville de Mortain (le blason actuel aux fleurs de lys étant une création française issue de l’écu de la branche capétienne donc française d’Évreux-Navarre). Lorsque la Normandie continentale est passée sous contrôle français, Philippe Auguste a importé l’héraldique royale, tandis que le duché de Normandie insulaire (îles Anglo-Normandes) a conservé le blason à trois léopards, emblème familial que les Plantagenêts n’avaient pas de raison de modifier.

Parmi les ducs de Normandie issus des Capétiens, Jean le Bon porta les armes des Valois (de France ancien à la bordure de gueules), et son fils Charles, duc de Normandie et dauphin de Viennois porta un écartelé de Valois et de Viennois. Au xive siècle, les armoriaux présentent déjà l’écu à deux léopards d’or pour la Normandie. Mais il a fallu attendre 1465 pour voir officiellement apparaître les deux léopards dans les armes d’un duc de Normandie, avec Charles de France, jusqu’en 1466. Nanti du titre de duc de Normandie de 1785 à 1789, le fils de Louis XVI a, quant à lui, porté un écartelé de France et de Normandie à deux léopards. Notons que Robert d’Alençon, comte du Perche (+1371) semble avoir parti ses armes d’Alençon ancien brisé d’un châtelet et de Normandie à deux léopards.
Bien qu'utilisé depuis 1290, l'utilisation des armes royales par les îles Anglo-Normandes a été acceptée en 1907, mais jamais officiellement accordée42.


Drapeaux normands
Article détaillé : Drapeau normand.
Le drapeau normand est un emblème non officiel de la Normandie, province historique française.



N'étant pas une collectivité territoriale dotée de symboles officiels, elle n'a donc pas de drapeau légal mais seulement des drapeaux officieux.
Plusieurs drapeaux sont actuellement en usage et coexistent donc en Normandie. Ils suivent deux modèles : le drapeau héraldique et le drapeau à croix de saint Olaf.
Les deux bailliages de Jersey et de Guernesey et leurs dépendances usent en revanche de drapeaux officiels.

Normandie : Généralités

Les différents visages de la Normandie.



Au nord de la Seine
Rideaux de culture dans le pays de Caux.


Le pays de Caux est la partie la plus septentrionale de la Normandie. Son sous-sol est constitué d’une grande épaisseur de craie, couvert d’une couche d’argile à silex et d’un limon fertile28, le tout est surmonté par un vaste plateau à la surface légèrement ondulée. À cheval sur les départements de Seine-Maritime et d'Oise, le pays de Bray, créé à partir de l'érosion d'un anticlinal, est une région de bocage, qui se caractérise par un sol argileux, favorable aux herbages pour l'élevage bovin laitier. Le Vexin normand, délimité par les vallées de l'Epte, de l'Andelle et de la Seine, se présente comme un plateau calcaire dont les méandres de la Seine ont creusé par endroits des falaises de craie abruptes.


Au sud de la Seine
Marais-Vernier.

Le long de la Seine, le Marais-Vernier, dans le Roumois, offre des paysages pour partie agraire à champs ouverts, (openfields), où les cultures céréalières se mêlent à l'élevage bovin. La campagne du Neubourg,plateau de craie et d'argile à silex, recouvert d'une épaisse couche de lœss, possède de vastes étendues découvertes et plates, largement dominées par les cultures céréalières. La monotonie du paysage est rompue, de manière ponctuelle, par quelques rares boisements. La campagne de Saint-André, (ou d’Évreux), est un plateau presque entièrement voué à de grande culture céréalière qui évoque beaucoup laBeauce voisine. Le plateau de Madrie, situé entre la Seine et l’Eure, a un sol sableux qui permet la céréaliculture. Le Lieuvin et le pays d'Ouche sont des régions aux paysages de bocages, elles annoncent lepays d'Auge qui est à cheval sur les départements du Calvados et de l'Orne, et inclut également un petit secteur de l'Eure. Le pays d'Auge est vallonné, bocagé, parsemé de nombreux bois ou forêts.

Au centre
Campagne de Falaise.

La partie Jurassique du Bassin parisien a un sol argileux qui favorise la pâture et l'élevage. Au nord-ouest du Calvados le Bessin désignait à l'origine le territoire compris entre l'Orne et la Vire29. Depuis lexixe siècle et la disparition des haies bocagères, le Bessin oriental est devenue la plaine de Caen, terre vouée principalement à l'agriculture, (en particulier les cultures céréalières). La plaine de Caen est peu à peu gagnée par l'urbanisation et la périurbanisation. Plus au sud, mais encore dans le Calvados, s'étend la campagne de Falaise, puis dans l'Orne, l’Hiémois, la plaine d'Argentan, la campagne d'Alençon et enfin au sud-est de l'Orne, le Perche, d'où de nombreuses petites rivières se dispersent de ses collines pour aller rejoindre la Manche, (Touques, Dives, Orne) ou la Seine (Eure, Avre, Iton, Risle).

Le Massif armoricain
Clécy en Suisse Normande.

À l'ouest de la Normandie, le Massif armoricain, au sol souvent acide, offre de nombreux bocages. La région n'a pas vu pénétrer les systèmes d'assolement que l'on a rencontré dans les openfield de l'Est. Ces réseaux imbriqués de prairies, haies, talus et fossés jouent un rôle de corridors biologiques et empêchent l'érosion des sols30.
La presqu’île du Cotentin est divisée en quatre « pays » historiques : au nord-ouest, la Hague ; au nord-est, le val de Saire ; au centre, le Plain, région de bocage ; au sud, la passe du Cotentin ou Bauptois, zone de marais et de landes. Au sud-ouest du département de la Manche, l’Avranchin est tourné vers la baie du mont Saint-Michel, au sud-est, le Mortainais à un paysage de bocage sur un flanc granitique et gréseux. Le bocage virois correspond au bassin de Vire et à la partie du synclinal bocain31,32 parcourue par la Vire et la Souleuvre. La Suisse normande à cheval sur le Calvados et l’Orne à un relief accidenté et verdoyant, avec des gorges sculptées par l’Orne et ses affluents, par érosion dans le Massif armoricain. Les berges du fleuve offrent un relief escarpé et un espace forestier important. Sur les collines, les champs, de taille modeste et pentus, sont très souvent bordés d’épaisses haies ou de murets en granite avec une végétation dense. Le pays d'Houlme est la partie occidentale de l’actuel département de l’Orne. Le Domfrontais ou Passais est une région bocagère situé dans le sud-ouest du département de l'Orne, à l'Est de laquelle se trouve la forêt d'Andaine.


Relief


Le site de la Roche d'Oëtre.
Le Signal d'Écouves, d'une altitude de 413 m, est le point culminant de la Normandie. Façonnées dans le grès armoricain (gros bancs de quartzite très durs), il est entièrement recouvert par la forêt. Le panorama se restreint aux collines proches.
En Suisse normande, le point le plus élevé du département du Calvados est le Mont Pinçon qui culmine à 362 m d’altitude, tandis que la Roche d'Oëtre, dans l'Orne, avec 118 mètres de hauteur, est un des plus prestigieux belvédère naturel de l’Ouest de la France.
Au sud-ouest de l'Orne, Saint-Céneri-le-Gérei avec une altitude maximum de 193 m, est hissé sur un piton rocheux granitique et irrégulier des Alpes Mancelles.
Hydrographie[modifier]
Article détaillé : Liste des cours d'eau normands.
Les cours d’eau de la Normandie sont la Seine et ses tributaires : Epte, Andelle, Eure, Risle, Robec ainsi que de nombreux petits fleuves côtiers : Bresle, Touques, Dives, Orne, Vire, Sée, Sélune, Couesnon. La Veules, plus petit fleuve de France, se jette à Veules-les-Roses, entre Dieppe etSaint-Valery-en-Caux, dans la Seine-Maritime. Les bordures sud de la province, drainées par la Mayenne, la Sarthe et leurs affluents, appartiennent au bassin de la Loire.

Le Couesnon.
 

La Seine aux Andelys.
 

La Bresle canalisée entre Euet le Tréport


Spoiler pour lanterneau


DESCRIPTION

Spoiler en ABS résistant aux U.V. Se monte sur les lanterneaux Fiamma 400 x 400 mm à l'aide des vis de fixation du cadre extérieur, mais peut aussi s'adapter à tous les lanterneaux de dimensions identiques.
Réduit considérablement le bruit de l’air et les vibrations causés pas la vitesse sur les lanterneaux sans forme aérodynamique.
Fabriqué en ABS avec anti-UV, il se monte facilement en utilisant les vis de fixation, ou bien se colle au toit
en utilisant le mastic Sika.
Il s’adapte à la plupart des lanterneaux 40x40 grâce aux rehausses livrées d’origine.

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Dimension lanterneau


NOS CONSEILS

Colles à utiliser:
Pose: Réf. 392EA7508 ou 392EA8298 MASTIC SIKA GRIS Ep. 3 mm x Larg. 25 mm
Etanchéité: Réf. 392AB4466 COLLE-MASTIC SIKAFLEX TECHNIQUE 222 UV BLANC


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